usagers. Elles offrent une superbe
qualité de vie, tout en permettant un
accès facile au centre de Paris. »
Plus au nord, de l'autre côté de Paris,
Edward Hoyle couvre la région de
Saint-Leu-la-Forêt. Ses acheteurs
sont eux aussi principalement
français et il a constaté une légère
baisse des demandes.
« La demande est légèrement plus
faible, en raison de l'augmentation
du coût et de la complication des
emprunts. Cela est particulièrement
vrai dans le segment supérieur du
marché, où le coût de l'entretien
(et en particulier du chauffage) des
grandes propriétés a explosé. Une
maison qui aurait pu coûter 5 000
euros à chauffer l'année dernière
pourrait coûter 15 à 20 000 euros
l'année prochaine.
On peut accéder à la Gare du Nord
en 28 minutes, ou prendre l'A115
vers le centre-ville, donc cette
zone est populaire auprès des
usagers et la plupart des acheteurs
sont français. Les propriétés les
plus demandées sont les maisons
familiales (3 à 5 chambres), avec
un jardin et à proximité de la gare.
Avec l'augmentation des coûts de
chauffage, les maisons économes en
énergie, avec un meilleur DPE, sont
plus populaires. Un parking privé est
souvent demandé, c'est un quartier
populaire auprès des familles, avec
une bonne qualité de vie et un prix
entre 4 000 et 5 000 euros par m², ce
qui est très intéressant par rapport à
Paris intra-muros.
Le confinement a changé les
habitudes de travail, avec de plus
en plus de personnes travaillant
à domicile, ce qui est devenu une
constante parmi les demandes
des clients - la possibilité de
prendre l'air dans le jardin est
aujourd'hui importante. Nous
sommes à proximité de la forêt de
Montmorency, qui est un espace
ouvert de 2 200 ha, idéal pour la
marche ou le vélo. Un nouveau
complexe de piscines est en cours
de construction pour les prochains
Jeux olympiques, tout comme de
nouveaux bâtiments qui seront
économes en énergie. »
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