Tendances actuelles
des ventes
Bordeaux 5 140 euros par m²
Périgueux 1 770 euros par m²
Ribérac 990 euros par m²
St-Émilion 2 080 euros par m²
Montignac 1 280 euros par m²
Agen 1 610 euros par m²
Pau 2 300 euros par m²
Biarritz 8 500 euros par m²
*Tous les prix des propriétés dans ce rapport proviennent des Notaires de
France, prix médians de toutes les ventes de maisons entre juillet et septembre
2022. Les prix varient en fonction du lieu ; parlez avec nos agents locaux pour
obtenir une idée plus précise.
que la presse parle souvent de
cette région et en donne une image
positive. De nombreux propriétaires
de gîtes se sont lancés dans les
réceptions de mariages grâce à
cela. »
Plus au sud, près d'Agen, Anne Hulme
travaille dans le Lot-et-Garonne et
a une vision légèrement différente.
Elle nous dit que les acheteurs de
la région viennent principalement
de France et de Belgique, avec une
baisse des demandes britanniques
depuis le Brexit. Dans l'ensemble, le
marché reste cependant actif, avec
une pénurie de propriétés et une
forte demande.
Pendant ce temps, au sud-ouest,
dans la région du Pays basque et du
Béarn, Charlie Ellis nous dit que la
rénovation des propriétés rurales
dynamise le marché des PyrénéesAtlantiques :
« Depuis les confinements, le Béarn
et le Pays basque ont énormément
profité des acheteurs français et
internationaux qui étaient à la
recherche d'une vie plus tranquille.
Ici, la plupart des acheteurs sont
français car ce bel environnement
rural offre un accès facile à
Bordeaux, Paris et Toulouse, via
l'autoroute et le TGV. Bien que
les prix dans le département aient
augmenté d'environ 20 % (et de
30 % sur la côte), il y a encore des
fermes et des moulins abordables
à rénover, ainsi que de belles
propriétés contemporaines prêtes à
accueillir de nouveaux propriétaires.
Malgré la rivalité amicale entre les
Basques et les Béarnais, de plus
en plus de nos acheteurs dans le
Béarn sont des Basques qui fuient
la côte surpeuplée. En outre, depuis
les confinements il y a eu un afflux
d'acheteurs britanniques à la
recherche de châteaux ; j'en ai vendu
deux au cours des derniers mois et
les demandes n'ont pas cessé. »
En remontant vers le nord,
on rencontre Bruno Roucher
qui travaille dans les Landes, le
département voisin. Il nous raconte :
« Ici le marché est dominé par
les acheteurs français et nous
continuons à bénéficier du trop-plein
bordelais, avec des familles qui
s'installent ici en raison des coûts
moins élevés et de la beauté des
paysages. Une fois que la LGV entre
Bordeaux et Paris sera ouverte
(donnant accès à la capitale en un
peu plus de deux heures), nous nous
attendons à ce que la popularité
des maisons de vacances dans
cette région augmente encore. Les
budgets typiques sont inférieurs à
350 000 euros. »
07
www.leggett.fr